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François Calliat (fl. 1578–1586) war Kaufmann im Bergwerkswesen.
auch: François Caillat, Franciscus Callatius
C. stammte aus Saint-Etienne-sur-Chalaronne (Fürstentum Dombes) bei Lyon. Zusammen mit Claude du Cayré (Generalinspektor für Kriege, Munition und Befestigungen in Savoyen), Guillaume Brunon (Generalverwalter der Minen des Herzogs von Nemours in Savoyen), ↗ Nicolas Barnaud (Generalverwalter der Minen der Herrschaft Bern), Jacob Wiss (Berner Rat und ehemaliger Landvogt von Lausanne) und Étienne Oddot (auch: Oudot, genannt Chaudiot, aus Besançon) gründete er eine Gesellschaft zur Verbesserung der Salzförderung in Lothringen. Mit einer neuen Technik, so der 1578 eingereichte Vorschlag, sollten zwei Drittel des Holzes eingespart und dabei genauso viel oder sogar mehr Salz hergestellt werden. Entsprechende Verträge wurden 1585 geschlossen, allerdings bestand der Herzog (Karl III., Herzog von Lothringen, 1543-1608) auf einem Verbot der Ausübung der reformierten Religion.
1586 erhielt C. gemeinsam mit Jean François Berliet (baron du Bourget, †1607, ab 1599 später Erzbischof von Tarentaise), Jean François de la Crest, Guillaume François Chabod (seigneur de Jacob) und André de Bienvenu die Belehnung der Gold-, Silber- und Kupferminen von Tarentaise und Conflans, mit der Befugnis, Häuser, Hammerwerke usw. zu errichten. Literatur: Auguste
Dufour and François
Rabut: Sigillographie de la Savoie: Première série, sceaux religieux, in:
Memorie della reale Accademia delle Scienze di Torino, 2nd series, 34 (
1881), p. 217-312, esp. p. 234 (
Google Books) (
Google Books)
Marie Claude
Guigue:
Bibliothèque historique du Lyonnais, vol. 1, Lyon
1886, esp. p. 311 (
Google Books)
Charles Hiegel: Les essais de réduction de la consommation de bois dans les salines lorraines (1572–1630): Progrès techniques ou chimères?, in: Principautés et territoires et études d'histoire lorraine (Actes du Congrès National des Sociétés Savantes. Section de Philologie et d'Histoire jusqu'à 1610, 103), Paris 1979, p. 269-284, esp. p. 308-311 (UB Heidelberg: Historisches Seminar, Eh 176) (BLB Karlsruhe: 81 A 8830)
Theatrum Paracelsicum
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François Calliat
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Hiegel (1979)
- [308] Quatre propositions méritent plus particulièrement de retenir notre attention. La première est celle présentée en 1578 par François Calliat, de 'Saint-Etiennte de Chaleronne ès Dombes' près Lyon' (Saint-Etienne-[309] sur-Chalaronne, Ain), de la principauté de Dombes, au nom de ses associés Claude du Cayré, contrôleur général des guerres, munitions et fortifications de la Savoie, Guillaume Brunon, intendant général des mines du duc de Nemours pour la Savoie, Nicolas Barnaud, intendant général des mines de la seigneurie de Berne, Jacob Wiss, conseiller de Berne et ancien bailli de Lausanne, et Etienne Oddot ou Oudot dit Chaudiot, de Besançon (13). Calliat proposait d'économiser les deux tiers du bois et de fabriquer avec le tiers restant autant de sel que d'habitude et même davantage, avec une économie de 2 francs par muid sur la façon du sel. Selon le contrat conclu avec lui, le duc de Lorraine mettait à sa disposition l'eau salée, les réservoirs, les poêles, les forêts, mais il laissait à la charge de l’'inventeur' les dépenses pour la coupe des bois, l'achat des matériaux, le salaire des ouvriers. Il se réservait également la nomination des officiers des salines (14). Toutes ces dispositions furent d'ailleurs reprises dans les contrats conclus ultérieurement avec d'autres 'inventeurs', mais le duc y ajouta encore après 1585 l'interdiction de l'exercice de la religion réformée. Le caractère sérieux des propositions de François Calliat ne fait pas de doutes. Son idée principale consistait à préparer par chauffage préalablement l'eau salée avant de l'envoyer dans les poêles pour la cuisson, en l'affinant et en séparant l'eau douce de l'eau salée dans un appareil appelé 'exhalatoire' ou 'exalatoire'. Ce réservoir placé sous un fourneau à côté des poêles, de forme carrée, était en bois avec un fond en plomb. On amenait ainsi l'eau salée par évaporation d'une certaine quantité d'eau douce à se concentrer davantage et on réduisait le temps de cristallisation du sel et du même coup la consommation de bois . On profitait également de la chaleur , qui se dégageait des four- neaux , pour préparer au moyen de deux tuyaux de plomb l'eau salée , avant de la conduire dans « < l'exhala- toire » . La récupération de la chaleur et l'affinage de l'eau salée présen- taient un intérêt non négligeable . En effet , la quantité de chaleur estrecueillie par un réservoir de bois, avant de la conduire dans « < l'exhala- toire » . La récupération de la chaleur et l'affinage de l'eau salée présen- taient un intérêt non négligeable . En effet , la quantité de chaleur est
Guigue, Bibliothèque historique du Lyonnais (1886), 311:
- "En 1566, un François Caillat était marchand à St-Etienne-sur-Chalaronne. – Le 20 janvier 1586, le duc de Savoie anoblit François Calliat, natif du pays de Dombes, et lui concéda les armes suivantes [...]."
Dufour/Rabut (1881), 234:
- "Le 24 Juin 1586, il [Jean-François Berliet, Baron du Bourget, 1599-1607 archevêque de Tarentaise, †1607] reçut l’inféodation des minières d’or, d’argent et de cuivre de la Tarentaise et Conflans conjointement avec Jean François de la Crest, Guillaume François Chabod seigneur de Jacob, André de Bienvenu et François Caillat de Dombes avec pouvoir de construire maisons, martinets, etc."
Ruth Kohlndorfer-Fries: Diplomatie und Gelehrtenrepublik: Die Kontakte des französischen Gesandten Jacques Bongars (1554–1612) (Frühe Neuzeit, 137), Tübingen: Max Niemeyer 2009, esp. p. 220 (A)
Portraits